La photographie est l’alibi d’une permanente évasion à travers le monde en représentant des scènes de paysage à travers un regard tendre et malicieux. Je travaille au plus près de la nature et avec des paysages d’origines très diverses.

Avec cette série j’essaie de montrer comment la nature restreinte de notre monde est en contradiction avec notre imaginaire. Cela rejoint un des aspects ultimes de l’écologie : ne pas s’approprier physiquement la nature comme on le fait trop souvent aujourd’hui, mais de se la représenter par la pensée et l’imaginaire, par un acte strictement non agressif.